😭 En ce moment difficile, je suis submergée par la tristesse, comme si elle prenait toute la place. Être triste, c’est souvent être face à une perte, une déception ou un moment d’incertitude.
Moi qui suis plutôt d’un naturel optimiste et dynamique, j’expérimente assez peu cette émotion. Pendant longtemps, j’ai même pensé qu’il fallait l’éviter, la cacher, surtout devant les autres, par crainte qu’ils en profitent ou que cela me fasse paraitre faible.
💡 Mais j’ai compris, à force d’expériences et de réflexions, qu’elle avait beaucoup à m’apprendre.
La tristesse m’invite à ralentir, à me reconnecter avec ce qui compte vraiment. Elle n’est pas là pour me briser, mais pour me rappeler tout ce que j’aime et que j’espère. Elle me ramène à ce que j’ai vécu de beau et aux instants précieux partagés avec l’absent.
🫢 Quant à la vulnérabilité… que c’est dur de s’y abandonner, n’est-ce pas ? Oser dire : « Je ne vais pas bien » ou « J’ai besoin d’aide ». Pourtant, à chaque fois que je l’ai fait, j’ai découvert quelque chose de précieux : des liens plus profonds avec les autres, et avec moi-même.
Loin d’être synonyme de faiblesse, elle représente une puissance incroyable. celle d’oser être vrai, d’accepter que tout n’est pas parfait. Lorsque nous laissons tomber les masques, que nous montrons nos fissures, c’est là que naissent les liens les plus authentiques.
🥰 Tristesse et vulnérabilité ne sont pas des ennemies, même si elles restent difficiles à vivre pour moi. Alors aujourd’hui, j’essaie de ne plus les fuir car elles me rappellent une chose essentielle : c’est dans nos failles que la lumière peut entrer.
Et vous, qu’est-ce que la tristesse ou la vulnérabilité vous ont appris sur vous-même ?