Être coach ou superviseur,
c’est parfois terraformer.
Créer les conditions pour que la vie, l’émotion, la pensée, la conscience puissent à nouveau circuler.
📍 Là où le climat relationnel est devenu irrespirable.
📍 Là où la terre intérieure s’est durcie.
📍 Là où plus rien ne pousse.
Terraformer, ce n’est pas imposer un nouveau paysage.
C’est réhabiliter l’écosystème vivant d’une personne, d’une équipe, d’un collectif.
Rendre la terre à nouveau fertile,
l’air respirable,
le mouvement possible.
Dans cet art discret,
le coach ou le superviseur devient un architecte du vivant relationnel :
il régule, ventile, réhumidifie, éclaire.
Non pour modeler l’autre,
mais pour restaurer les conditions d’émergence —
de l’autonomie, du sens, du lien.
Car parfois, accompagner,
c’est simplement rendre la vie possible à nouveau. 🌱
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